Born in Antwerp in a Jewish-Lebanese family, Alberto began his artistic journey on his 13th birthday when he received his first camera. Though his main work is trading diamonds, his passion for photography increased over the years. After a visit at the renewed photography festival Les Rencontres d’Arles (France) during the summer of 2015, Alberto decided to explore the possibilities of the analogue black-and-white photography.
A constant research for an aesthetic perfection and confrontation with difficult subjects (such as childhood diseases and abused women) are two main characteristics of Alberto Saleh photographic works.
Born in Antwerp in a Jewish-Lebanese family, Alberto began his artistic journey on his 13th birthday when he received his first camera. Though his main work is trading diamonds, his passion for photography increased over the years. After a visit at the renewed photography festival Les Rencontres d’Arles (France) during the summer of 2015, Alberto decided to explore the possibilities of the analogue black-and-white photography. Through this choice, he wanted to engage with the photographic medium from its historic and very technical side. With Tour de Force, his first analogue series, he stresses the importance of specific skills needed in film photography. During the same year, he opened his own studio (where some of his works can be seen on appointment) and started to explore digital photography. Fascinated by the new possibilities offered by this medium, he began to play with colors, shadows and saturations, enhanced from time to time, by neon lights. Also in 2015, he was honoured by the mayor of Antwerp, Bart de Wever, who has chosen his artwork House of Lights — picture symbolizing both the multicultural facets of the city and the 450 years of existence of its city hall — to be hanged in his office. In February 2015 his first solo exhibition was held at Artelli Gallery (Antwerp) and in September, his works were shown to a large public during the Accessible Art Fair in Brussels (curated and organized by Stephanie Manasseh). Many shows followed: the Fotofever fair (Carousel du Louvre, Paris), the Monaco Art fair, the Accessible Art Fair New York (The National Arts Club, NY). In 2017, he exposed again with Stephanie Manasseh at the 9Hotel in Brussels and Paris. Today, his works are being part of public and private collections in Antwerp, Brussels, Paris, London, New-York, Geneva and Tel-Aviv.
In 2018, Alberto started to work on two projects involving those who’s voices are not always heard: children fighting with chronic diseases and women suffering from domestic violences. The first project called The Children of Love took place in a new children’s hospital in Leuven and offered to young patients — who played the role of models — a way of escaping their difficult reality through a moment of creation and joy. With his second project, titled Empowered Woman, Alberto collaborated with more than 20 women from diverse socio-cultural backgrounds. With this series of portraits and scenes, the artist wishes to shake up the audience, create a dialogue and, above all, give strength to all victims of violence.
FR
La recherche constante d’une perfection esthétique et la confrontation avec des sujets difficiles (tels que les maladies infantiles et les violences subies par les femmes) sont deux caractéristiques principales des œuvres photographiques d’Alberto Saleh.
Né à Anvers dans une famille d’origine juive libanaise, Alberto a commencé son voyage artistique à l’âge de 13 ans, lorsqu’il a reçu son premier appareil photo. Bien que son travail principal soit le négoce de diamants, sa passion pour la photographie a augmenté au fil des ans. Après une visite du célèbre festival de photographie Les Rencontres d’Arles (France) au cours de l’été 2015, Alberto a décidé d’explorer les possibilités offertes par la photographie analogique en noir et blanc. Par ce choix, il souhaitait aborder le médium photographique sous ses aspects à la fois historique et technique. Avec Tour de Force, sa première série analogue, il a souligné l’importance des compétences spécifiques nécessaires à la photographie argentique. La même année, il ouvre son propre studio (où certaines de ses œuvres sont visibles sur rendez-vous) et commence à explorer la photographie numérique. Fasciné par les nouvelles possibilités offertes par ce médium, il commence à jouer avec les couleurs, les ombres et les saturations enrichies, de temps en temps, par les néons. En 2015 toujours, il est honoré par le bourgmestre d’Anvers, Bart de Wever, qui a choisi son œuvre House of Lights – une image symbolisant à la fois les facettes multiculturelles de la ville ainsi que les 450 ans d’existence de son hôtel de ville – pour embellir son bureau. En février 2015, sa première exposition personnelle a eu lieu à la Galerie Artelli (Anvers) et en septembre, ses œuvres ont été montrées à un large public lors de la Accessible Art Fair à Bruxelles (organisée par Stephanie Manasseh). De nombreuses explosions ont suivi: le salon fotofever (Carousel du Louvre, Paris), le Monaco Art Fair, le Accessible Art Fair New York (Le National Arts Club, NY). En 2017, il a de nouveau exposé avec Stéphanie Manasseh au 9Hotel à Bruxelles et à Paris. Aujourd’hui, ses œuvres font partie de collections publiques et privées à Anvers, Bruxelles, Paris, Londres, New York, Genève et Tel-Aviv.
En 2018, Alberto a commencé à travailler sur deux projets impliquant des personnes qui ne sont pas toujours entendues: des enfants souffrant de maladies chroniques et des femmes souffrant de violences domestiques. Le premier projet, intitulé The Children of Love, a eu lieu dans l’hôpital pédiatrique de Louvain. En travaillant avec les jeunes patients jouant le rôle de modèles, Alberto a voulu offrir aux enfants un moyen d’échapper à leur réalité difficile à travers un moment de création et de joie. Pour son deuxième projet, intitulé Empowered Woman, l’artiste a collaboré avec plus de 20 femmes venant de divers horizons socioculturels. En créant une série de portraits et de scènes, il a souhaité de secouer le public, créer un dialogue et surtout donner de la force à toutes les victimes de la violence.